Les
cancers du rectum sont relativement fréquents. Près de 15 000 nouveaux
cas sont diagnostiqués chaque année en France, un peu plus souvent chez
des hommes que chez des femmes (53 % vs 47 %). Dans 90 % des cas, la
maladie survient après 50 ans.
Alors
que les cancers du côlon se développent à partir le plus souvent de
cellules de la muqueuse du gros intestin, les cancers du rectum naissent
du développement anarchique de cellules de la muqueuse du rectum, la
dernière partie du tube digestif, qui relie le côlon au canal anal.
Les cancers du rectum sont relativement fréquents. Près de 15 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année en France, un peu plus souvent chez des hommes que chez des femmes (53 % vs 47 %). Dans 90 % des cas, la maladie survient après 50 ans.
Et les polypes ?
Toutes les tumeurs du rectum ne sont pas des cancers : il existe également des tumeurs bénignes très fréquentes, surtout après 65 ans, les polypes (ou adénomes). En grossissant, ces lésions peuvent évoluer et conduire à la naissance d’un cancer. Un polype dont le diamètre mesure plus d’un centimètre deviendra un cancer dans 1 cas sur 4. Il est donc important de rechercher ces tumeurs bénignes et de les retirer. C’est un des objectifs du dépistage organisé du cancer colorectal.
*
2. Ce que je ressens ?
http://sante.lefigaro.fr/maladie/cancer-rectum
Les cancers du rectum sont relativement fréquents. Près de 15 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année en France, un peu plus souvent chez des hommes que chez des femmes (53 % vs 47 %). Dans 90 % des cas, la maladie survient après 50 ans.
Et les polypes ?
Toutes les tumeurs du rectum ne sont pas des cancers : il existe également des tumeurs bénignes très fréquentes, surtout après 65 ans, les polypes (ou adénomes). En grossissant, ces lésions peuvent évoluer et conduire à la naissance d’un cancer. Un polype dont le diamètre mesure plus d’un centimètre deviendra un cancer dans 1 cas sur 4. Il est donc important de rechercher ces tumeurs bénignes et de les retirer. C’est un des objectifs du dépistage organisé du cancer colorectal.
*
2. Ce que je ressens ?
Les
cancers du rectum, souvent, longtemps asymptomatiques. Les premiers
signes cliniques apparaissent tardivement, alors que la tumeur est déjà
évoluée.
Les patients chez lesquels des symptômes se font sentir se plaignent
de douleurs abdominales, de ballonnements, de changements dans le
fonctionnement de l’intestin (constipation, diarrhée ou alternance des
deux). Ils peuvent aussi avoir repéré du sang dans leurs selles,
souffrir d’anémie, de fatigue, d’un amaigrissement inexpliqué…
Aux stades avancés de la maladie, la tumeur peut provoquer des
complications graves comme une occlusion intestinale ou une péritonite.
Les
cancers du rectum, souvent, longtemps asymptomatiques. Les premiers
signes cliniques apparaissent tardivement, alors que la tumeur est déjà
évoluée.
Les patients chez lesquels des symptômes se font sentir se plaignent de douleurs abdominales, de ballonnements, de changements dans le fonctionnement de l’intestin (constipation, diarrhée ou alternance des deux). Ils peuvent aussi avoir repéré du sang dans leurs selles, souffrir d’anémie, de fatigue, d’un amaigrissement inexpliqué…
Aux stades avancés de la maladie, la tumeur peut provoquer des complications graves comme une occlusion intestinale ou une péritonite.
Les patients chez lesquels des symptômes se font sentir se plaignent de douleurs abdominales, de ballonnements, de changements dans le fonctionnement de l’intestin (constipation, diarrhée ou alternance des deux). Ils peuvent aussi avoir repéré du sang dans leurs selles, souffrir d’anémie, de fatigue, d’un amaigrissement inexpliqué…
Aux stades avancés de la maladie, la tumeur peut provoquer des complications graves comme une occlusion intestinale ou une péritonite.
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