jeudi 24 mai 2012

La situation du marché du travail informatique en Belgique ?


Le marché de l’emploi
La situation du marché du travail informatique en Belgique ?
Voici quelques infos sur les questions que vous êtes en train de vous poser :
http://www.ada-online.org/frada/spip.php?rubrique23
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Les NTIC en Belgique
Le secteur des NTIC est constitué de trois grands sous-secteurs qui emploient environ 100.000 personnes en 2005 :
  • Les opérateurs télécoms
  • Les producteurs d’équipements et de composants
  • Les entreprises informatiques
Vous aspirez à un poste TIC ? Alors, vous voulez sans doute savoir comment le secteur se porte et quelles sont les possibilités d’embauche !
2001-2004 = la crise du secteur informatique et ses conséquences sur l’emploi :
Le secteur Tic, après un bond spectaculaire dans les années 90, a subi un très net coup d’arrêt en 2001 : trois facteurs se sont cumulés pour ralentir la croissance :
  • Le crash boursier lié au 11 septembre 2001 a ralenti la croissance dans l’ensemble de l’économie : les entreprises qui utilisent les services TIC ont repoussé, voire annulé, des investissements informatiques.
  • L’explosion de la bulle Internet à partir de mars 2000 et la chute de certaines entreprises du secteur : dans les années nonante on a surévalué certaines entreprises des nouvelles technologies, particulièrement des Start-up Internet, et en 2001 le secteur a dû revenir à des estimations plus raisonnables de la rentabilité possible de ces entreprises.
  • La fin du passage à l’Euro, et à l’an 2000 : ces deux problèmes conjoncturels avaient sensiblement tiré vers le haut les embauches dans le secteur, leur effet s’est arrêté en 2001.
Ces trois facteurs cumulés ont conduit à une légère diminution du nombre de salariés du secteur informatique, (-2.5% dans les services informatiques entre 2001 et 2002 ; -8.1% dans le développement et la production de produits TIC). La production du secteur, après une évolution positive sur les années 2000 et 2001, a également baissé en 2002 : baisse du chiffre d’affaire de 9 % en moyenne, particulièrement forte dans le secteur de production de matériel (-17%) et du service informatique (-9%). Quant au nombre de spécialistes informatiques, tant dans le secteur qu’à l’extérieur du secteur informatique, il a continué à augmenter jusqu’en 2002, mais beaucoup moins rapidement qu’avant, pour connaître en 2003 une légère diminution.
Quant à la proportion de femmes, de 18 % en 1997 elle est passée à 14.6 % en 2000, et n’a pratiquement pas bougé de 2000 à 2003, mais on constate une légère augmentation en 2004 (16% de femmes parmi les spécialistes en informatique.
2004 s’est avérée être une année de légère reprise dans le secteur TIC. L’activité y a en effet progressé de près de 3,0%. En ce qui concerne l’emploi, l’année s’est clôturée sur un nouveau recul de l’effectif du secteur informatique. Par rapport à décembre 2003, le nombre de personnes occupées a baissé de 3,0%.
Agoria : des prévisions positives pour 2005
Agoria prévoit, pour 2005, une croissance de 3% et une stabilisation de l’emploi dans le secteur.
Quelques points positifs concernant la reprise du secteur :
  • Internet : malgré l’explosion de la bulle spéculative, et la chute de certaines start-up, les services de vente en ligne continuent à progresser, et de nouveaux services via Internet apparaissent.
  • Le développement du e-gouvernement devrait générer de nouveaux emplois dans l’administration.
  • Si Internet a été perçu comme une innovation uniquement marketing pour les entreprises, c’est maintenant un réel service commercial. Le développement des signatures sécurisées, et du commerce par Internet amène une utilisation plus importante du réseau.
  • Les perspectives économiques pour 2005 et suivantes anticipaient une reprise progressive, plus soutenue à partir de 2005, avec une diminution du nombre de chômeurs en 2005 et 2006 : ces perspectives devraient avoir une influence aussi sur les nouvelles technologies.
  • Développement de nouvelles solutions dans les produits et services informatiques : de nouveaux services informatiques apparaissent ou se consolident  : réseau ADSL, réseau sans fil, réseau privé virtuel…
Si on décortique un peu les chiffres pour 2004, on voit que :
  • Les opérateurs télécoms ont vu une augmentation de 7% de leur croissance. En cause : le développement des lignes ADSL à haut débit et de la mobilophonie. Ce secteur a créé 37.000 emplois et a réalisé quelques 19 milliards d’euros de valeur ajoutée en 10 ans. C’est ce qui ressort de la première étude nationale sur l’impact économique et sociétal de la filière mobile en Belgique, réalisée par le cabinet Tera Consultants, à la demande du GSM Operators’ Forum (GOF).
  • Les producteurs d’équipements et de composants ont vu leurs ventes augmenter de 5%.
  • Les entreprises informatiques ont par contre enregistré une croissance nulle.
On voit que le sous-secteur qui porte l’ensemble du secteur TIC est celui des opérateurs télécoms. Le secteur des producteurs d’équipements a connu une légère croissance. Par contre le secteur véritablement porteur en terme d’emplois de spécialistes informatiques a connu une croissance nulle.
Tendances négatives et délocalisations
Agoria TIC et la fédération patronale appellent à la mise en place d’une politique intégrée qui mobiliserait les écoles, le fisc et les pouvoirs publics afin d’attirer de grosses entreprises telles que Microsoft et Intel. Pour appuyer leurs dires, ils comparent la situation en Belgique et en Irlande : il y a 10 ans elle était à peu près comparable dans les deux pays. Par contre, à l’heure actuelle, l’Irlande nous a largement dépassés suite à une politique favorable à l’installation d’entreprises informatiques.
La situation est pourtant mitigée pour la Belgique :
  • La croissance des activités informatiques en Irlande date d’il y a dix ans, phase de plein développement des activités informatiques, et la Belgique et l’Irlande n’ont pas la même situation socio-économique.
  • Il n’est pas certain du tout que les grosses entreprises amirales dans le secteur soient dans une phase de recrutement : par exemple, IBM a annoncé en mai 2005 un plan de réduction de ses effectifs de près de 13 000 emplois, soit plus de 3 % de l’ensemble de son personnel. Le numéro un mondial de l’informatique a indiqué que ces réductions toucheraient principalement l’Europe, où il emploie environ 90 000 personnes, et que les raisons en sont à la fois une réorganisation interne, et une redistribution vers des régions à plus fort potentiel de croissance que l’Europe. (1)
  • Une des raisons de ces suppressions d’emplois chez IBM est aussi la délocalisation(2) ,qui touche de plus en plus le secteur informatique, notamment pour les activités de développement et les call centers, et qui est couramment utilisée par les entreprises américaines. Les plus grands acteurs américains du monde de l’informatique (IBM, AT&T, Microsoft, Novell, Texas Instruments, Hewlett Packard ou encore Digital) ont implanté des centres de développement en Inde, en Russie, en Asie du Sud-Est. Aux États-Unis de nombreuses sociétés (compagnies aériennes, banques, compagnies d’assurance, hôtels, grands magasins, chaînes de télévision…) font régulièrement appel à des sociétés offshore, essentiellement pour des raisons de baisse des coûts. La main d’œuvre européenne est certes hautement compétitive en terme de compétences, par contre le travailleur européen ne peut pas lutter contre les bas salaires en vigueur dans des pays tels que l’Inde, l’Asie du sud-est ou la Russie… et où les compétences des travailleurs TIC ne cessent d’augmenter… Par exemple lorsque vous utilisez un logiciel pour lire vos fichiers musicaux, il y a de fortes chances que le programme ait été conçu en Inde, ou aux Etats-Unis par des informaticiens indiens…
Conclusion
Il est difficile à l’heure actuelle de faire la balance entre les tendances à la reprise, soulignées par Agoria, et les tendances à la récession du secteur informatique. D’autant que les perspectives de croissance en 2005 font plutôt état d’un nouveau ralentissement de l’activité en Belgique, ce qui devrait limiter la demande de services informatiques. Le cap de la grande crise de 2001 semble maintenant dépassé, mais il ne semble pas, malgré tout, que l’on puisse en tirer des perspectives trop optimistes pour le secteur en 2005.
Notes & liens
Agoria : http://www.agoria.be.
« LES ENTREPRISES TIC BELGES PRÊTES POUR UN NOUVEAU DÉPART  ?! » (02 05 2005)
(1) IBM Plans Restructuring Actions to Accelerate Global Integration of Operations, Company Will Take Second-Quarter Charge http://www.ibm.com/investor/events/ir0505/
(2) La délocalisation consiste pour une entreprise à faire réaliser certaines tâches (fabrication de biens ou prestations de services) dans les localisations géographiques où le coût de la main d’œuvre est plus faible que celui auquel où elle est implantée, et où elle vent ses produits ou ses services. La délocalisation peut s’accompagner ou non d’une externalisation (opération qui consiste pour une entreprise à confier à un tiers la réalisation de certaines tâches auparavant réalisées directement par les employés de l’entreprise. Les tâches externalisées peuvent être réalisées dans les locaux du prestataire, ou bien, aussi, dans ceux de l’entreprise, par des équipes du prestataire.) La délocalisation permet ainsi de faire appel à des informaticiens étrangers, en les rémunérant aux conditions de leur pays d’origine : l’entreprise peut choisir ou non de confier les tâches délocalisées à un tiers ou de créer elle-même une entité (filiale par exemple) dans le lieu considéré qui recrutera des employés localement.
Sur ce thème, fortement controversé, voir par exemple les rapports présentés au sénat français sur les délocalisations  : http://www.senat.fr/presse/cp20050316.html
(3) Perspectives de croissance fournies par la banque nationale de Belgique pour le premier trimestre 2005.
http://www.nbb.be/doc/dq/F/dq3/IFE.pdf
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Le futur avec une double casquette…
D’après les intervenants de la table ronde « locale » des Digitales 2006, l’avenir nous promet l’arrivée de nouveaux métiers TIC. Si les projets esquissés se concrétisent, de plus en plus de gens seront amenés à porter une double casquette : informaticien/ne et… ?
Article publié en : 06/2006

**Lire Plus**
Mieux adapter l’enseignement TIC au marché
Agoria, la fédération de l’industrie technologique, lance un appel pour que l’enseignement TIC soit mieux adapté aux besoins du marché. D’autres acteurs, et notamment des groupes plaidant pour une plus grande représentation des femmes dans le secteur, soutiennent ce point de vue. L’enseignement TIC devrait se départir de son contenu exclusivement technique et mettre davantage l’accent sur la communication et le management.

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Où travaillent les informaticiens ?
Les informaticiens ne travaillent pas tous dans des entreprises informatiques, loin de là. Pour l’année 2000, un rapport du Ministère de l’Emploi et du Travail a croisé deux types de statistiques  : la profession, (informaticien) et le secteur (services informatiques).

Les résultats sont présentés dans le graphique ci-dessous : moins de la moitié des postes d’informaticiens se trouvent dans des entreprises informatiques. La diffusion de l’informatique (et son utilisation de plus en plus importante par des secteurs très différents de l’économie) implique la présence de spécialistes informatiques dans des entreprises non-informatiques.

L’évolution de la répartition va plutôt vers une augmentation du nombre de postes informatiques dans des entreprises purement informatiques. (Le pourcentage d’informaticiens travaillant dans des entreprises de service informatique, en particulier, est passée de 30 à 41 % de 1997 à 2000).
Evolution du secteur informatique de 1995 à 2001
Attention, les statistiques ci-dessous concernent tous/tes les salarié/e/s du secteur informatique et ne comportent donc pas uniquement des postes d’informaticiens, mais également toutes les fonctions qu’on trouve dans toutes les entreprises quelque soit leur production principale (secrétariat, comptabilité, administration…).
Le nombre d’emploi total de ce secteur est de 124 000 salarié/e/s en 2001, il était de 93 000 en 1995.

voir cadre pour la nomenclature et les regroupements des catégories

De manière plus détaillée, voici les principales évolutions depuis 95 en nombre de salarié/e/s :
  • La production et la commercialisation de produits informatiques sont restées stables, avec même une petite diminution pour la production.
  • Les activités de télécommunication ont connu un changement important de structure, (mise en concurrence du secteur des télécoms et développement de l’Internet) et l’emploi dans cette catégorie a nettement augmenté (+ 23 % en 6 ans), soit 6 000 emplois.
  • Les services informatiques ont augmenté de 24 000 emplois, ce sont eux qui " tirent " le secteur informatique (en tout, + 135 % sur 6 ans). Mais ce sont aussi des catégories particulièrement vulnérables aux aléas économiques, et il est probable que les chiffres ne soient pas aussi bons en 2002. Parmi les services informatiques, la réalisation de programmes et de logiciels, (+14 000 emplois), et le conseil en systèmes informatiques, (+ 6 000 emplois) sont les éléments les plus importants (respectivement 217 % et 70 % de croissance sur 6 ans). Les raisons qui expliquent cette croissance des entreprises de services informatiques, outre le développement du secteur informatique, concerne aussi l’organisation du secteur : l’externalisation des services informatiques, (c’est à dire le fait de faire appel, pour la gestion de son parc, le développement de nouveaux logiciels, à une entreprise extérieure, plutôt que de réaliser ces activités en interne), augmente la part du secteur informatique sans forcément qu’une augmentation équivalente du nombre d’informaticien en activité ait lieu.
Nomenclature et regroupement
Production
30.01 Fabrication de machines de bureau
30.02 Fabrication d’ordinateurs et d’autres équipements
32.10 Fabrication de composants électroniques
32.20 Fabrication d’appareils de téléphonie d’émission et de transmission
32.30 Fabrication d’appareils de réception, enregistrement
Commercialisation
51.43 Commerce de gros d’appareils électroménagers, de r
51.64 Commerce de gros de machines et matériel de bureau
Télécommunication
64.20 Activités de télécommunication
Services informatiques
72.10 Conseil en systèmes informatiques
72.20 Réalisation de programmes et de logiciels
72.30 Traitement de données
72.40 Activités de banques de données
72.50 Entretien et réparation de machines de bureau et d
72.60 Autres activités rattachées a l’informatique

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Et les informaticiennes ?
Dans quel secteur sont-elles ?
La proportion de femmes, toutes professions confondues, dans les salariés du secteur informatique, est de 29 % en moyenne.
Le secteur informatique est donc manifestement un secteur très peu féminisé : il y a peu de femmes informaticiennes, mais plus largement, il y a peu de femmes, même d’autres professions, qui travaillent dans une entreprise informatique. Les deux sous-secteurs les moins féminisés sont l’entretien de matériel, et le conseil en informatique.
Cette proportion de 29 % de femmes dans les salariées des entreprises informatique est certes plus élevée que les 14.6 % de femmes dans la catégorie professionnelle des informaticiens, mais c’est encore bien loin des 50 % !
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Evolution depuis 1995 de la présence des femmes …
Si on considère l’évolution de la présence des femmes, il y a une petite lueur d’espoir, on va plutôt vers une augmentation… mais tout doucement !
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*(catégries isco 213), c’est à dire les spécialistes informatiques
**Page 50 Etude "TIC et métiers en émergence" de F. Pichault, B. Rorive et M. Zune du LENTIC (Laboratoire d’Etudes sur les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication) de l’Université de Liège (mars 2002)

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Les salaires dans l’ICT
Les salaires dans l’ICT
Combien gagne-t-on quand on est administrateur de base de donnée, analyste programmeur, help desk ? Est-ce que les salaires augmentent ou diminuent dans l’informatique ?
Deux études peuvent vous permettre de trouver des réponses à ces questions :
  • Une étude réalisée par Datanews, qui recueille chaque année des questionnaires volontairement remplis par des informaticiens.
    Une moyenne des rémunérations est établie sur cette base pour les principales fonctions. D’autres renseignements sont également demandés, par exemple le nombre de jours de formation, l’attachement porté à des avantages comme la voiture de fonction, etc…
    L’enquête regroupe les informations envoyées par 2431 informaticiens, mais la méthode de recueil des informations peut biaiser les résultats. Et malheureusement, aucune information sur la répartition des salaires et des fonctions par sexe n’est publiée par Data News...
  • L’autre source d’information est l’étude de 01.net, qui est réalisée en France et est un peu plus ancienne. Mais elle se base sur des sources plus systématiques (enquête dans les entreprises) et informe notamment sur l’age moyen, le nombre d’année d’expérience, le secteur économique… pour une longue liste de fonctions informatiques.
    Sur le site de 01net, vous trouverez également, pour chaque fonction un récapitulatif des missions.
À partir de ces deux enquêtes, vous pouvez certainement vous faire une idée des espérances que vous pouvez avoir compte tenu de votre formation…
Résultats de l’enquête Datanews concernant les salaires
Data news donne des informations pour les 6 fonctions informatiques ci-dessous
(NB : pour plus d’information, vous pouvez trouver l’enquête complète sur le site de Data News : http://www.vnunet.be/static/Datanews/downloads/salaires_2004.pdf.)
Nom de fonction Salaire brut moyen mensuel
Programmer 2000 / 2250
Analyst programmer 2700 / 3000
Système engineer et Administrator 3000 / 3250
Data base administrator 3250 / 3500
Telecom et network 2750 / 3000
Analyst 3250 / 3500
Analyst fonctionnel 3250 / 3500
CIO EDP Manager 4500 / 4750
A noter que les salaires moyens publiés en 2004 sont inférieurs, pour la plupart des fonctions, à ceux de l’année 2003 : pour les programmeurs, par exemple, le salaire moyen de l’an dernier était de 2250 à 2500 €. La seule fonction qui a vu sa rémunération moyenne augmenter, entre l’enquête 2003 et l’enquête 2004, est celle de CIO EDP Manager. Mais les personnes qui ont répondu à l’enquête ne signalent pas de baisse particulière de leur salaire individuel, au contraire : 93 % des répondants ont vu leur salaire soit rester à l’identique, soit augmenter dans l’année précédente : il y a donc tout lieu de croire que la diminution du salaire moyen entre les deux enquêtes est surtout due à un changement de l’échantillon...
Rémunération des informaticiens d’après l’enquête de 01net
L’enquête de 01.Net montre une très grande diversité des rémunérations entre les différentes fonctions de l’informatique :
Nom de fonction Rémunération et évolution de la rémunération entre 2002 et 2003 Age moyen Ancienneté moyenne Formation Effectif supervisé Salaire moyen en province
Architecte systèmes d’information
55 214 € [Diminution forte (<10 %)]
43 ans
9 ans
bac + 3
1
53 052 €
Chef de projet
52 135 €(Stagnation)
39 ans
9 ans
bac + 4
1
47 047 €
Responsable d’un service informatique (Supervisant plus de 10 personnes)
84 308 € (Stagnation)
45 ans
14 ans
bac + 3
26
78 663 €
Responsable informatique (Supervisant moins de 10 personnes)
59 538 € (Stagnation)
42 ans
12 ans
bac + 3
3
Administrateur base de données
42 834 €[Diminution moyenne (>10 %)]
38 ans
8 ans
bac + 3
40 233 €
Ingénieur réseau
43 409 €[Diminution moyenne (>10 %)]
35 ans
6 ans
bac + 3
1
40 907 €
Analyste programmeur
33 797 €[Progression faible (de 3 à 4 %)]
37 ans
9 ans
bac + 2
27 247 €
Correspondant designer web
[Diminution moyenne (>10 %)]
33 ans
5 ans
bac + 3
22 904 €
Technicien réseau
33 221 €[Progression faible (de 3 à 4 %)]
35 ans
8 ans
bac
31 453 €
Programmeur web
32 063 €[Diminution moyenne (>10 %)
27 ans
2 ans
bac + 2
Technicien de maintenance/Help desk
29 767 € [Diminution moyenne (>10 %)]
35 ans
9 ans bac
28 028 €
Les résultats complets de l’enquête sont disponibles sur l’adresse : http://www.01net.com/article/220204.html
NB :
- l’enquête est réalisée en France et fait apparaître de très grosses différences entre les personnes travaillant en région parisienne et celle installées en province.
- Les salaires sont exprimés en brut annuel.



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